Fin novembre 2017, je faisais interner ma mère dans un hôpital psychiatrique en Suisse.
Début janvier 2018, ma mère déménageait dans un EHPAD à Paris.
Début février, après quelques semaines dans ce premier EHPAD qui n’était absolument pas adapté à ses besoins, ma mère déménageait dans un deuxième EHPAD à Paris.
Mi-mars, le deuxième EHPAD envoyait ma mère dans un hôpital psychiatrique parisien pour faire une évaluation et “remettre les pendules à l’heure.”
Mi-avril, ma mère était renvoyée dans son deuxième EHPAD.
Le 24 avril, la direction de ce deuxième EHPAD nous a expliqué qu’ils ne pouvaient plus s’occuper de ma mère à cause, en particulier, de sa violence et de sa force physique qui ne correspondent pas au style de la maison.
On va donc devoir replacer ma mère dans un hôpital psychiatrique temporairement, en attendant de trouver un hôpital ayant une unité psychogériatrique de long séjour qui accepte ma mère et qui, on l’espère, puisse réellement subvenir à ses besoins et la rendre la moins malheureuse possible.
L’éternité, c’est long, surtout vers la fin. (Woody Allen)
bon courage! c’est le parcours du combattant…
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Ça, c’est vraiment vraiment pas facile…
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au moins les arbres sont en feuilles là-bas alors que près de ton boulot….
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Ca me fend le coeur tout ca. Je pense fort a toi.
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Oh non…
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Il faut beaucoup de courage pour affronter ce long parcours. Je te souhaite de l’avoir.
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J’espère que vous trouverez rapidement un EHPAD qui soit adapté à ta maman. Tous ces changements ne sont bons ni pour elle, ni pour vous. Courage.
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…
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ce marronnier est très beau et je me dis qu’heureusement que vous vous entendez bien, parce que ce que vous vivez tous frères et soeurs, est lourd à porter. J’espère que le soleil et le printemps te donne de l’énergie pour affronter cela.
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Un des cas où la famille nombreuse est un grand avantage! Bon courage, la psycho gériatrie est un monde en soi.
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Bon courage mon amie!
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En effet les EHPAD ne sont pas adaptés à la pathologie de ta maman; Plein de courage pour cette épreuve de la vie; Elle est la seule à ne ne pas souffrir de son état c’est ce à quoi il te faut penser ! je t’embrasse
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Je pense malheureusement au contraire qu’elle souffre énormément, elle a souvent des moments de lucidité et on voit qu’elle panique de ne pas savoir ce qui se passe, où elle est, etc. 😥
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Le titre m’avait réjouie (tu connais Manau!), mais le contenu est beaucoup moins charmant. (Tu me diras, la chanson est assez glaçante, aussi.)
Et malheureusement, je ne ne crois pas, comme Brigitte, que ta maman ne souffre pas. Dans cette maladie horrible, on peut avoir des instants de lucidité. Et c’est peut-être dans ces moments-là que ta maman devient violente, en rébellion contre ce moi qui s’oublie…
Courage, courage, courage.
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Et si tu essayais à Paris une clinique privée – chez les soeurs, s’il en existe encore. Ta mère souffre, intérieurement … c’est si dur pour vous – la famille aussi – amitiés 🙂
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je suis très triste pour toi, ta maman, et ta famille, je en peux que te souhaiter de trouver très vite une maison adaptée..courage! prend soin de toi, ne t’oublie pas…
des bises de l’ouest
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J’aime le titre … Ou comment se construire de l’acquit
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