c'est pas moi je l'jure!

vivre ou survivre

J’ai réussi à déverrouiller la porte de la soufflerie en 20 minutes dimanche.

Je n’ai rien pu éteindre à l’intérieur, c’est un puit dans tout l’immeuble, impossible à arrêter chez moi seulement. L’interrupteur qui dit “puissance du groupe” ne sert à rien.

Même de faire sauter les plombs ne sert à rien.

Alors j’ai essayé de couvrir la porte avec des couvertures, à l’intérieur et à l’extérieur, pour étouffer le bruit (je laisse la porte grande ouverte quand je ne suis pas chez moi pour laisser passer l’air un peu plus). C’est moins bruyant à 60%. Il se peut que je ne me coupe pas immédiatement les oreilles ou ne saute pas du 12ème étage.

32 comments

  1. CINABRE

    Pourquoi ne pas mettre un absorbeur acoustique ? Un à l’intérieur, l’autre sur la porte (a l’intérieur pour l’esthétique ) facile à poser , à déplacer et très efficace . Moins de bruit =Moins de stress

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  2. Cinabre à raison, il existe tout de même de bons produits d’isolation phonique plus “puissants” que tes couvertures, par définition ils sont légers faciles à mettre en oeuvre même temporairement et ça coùte que dalle, ensuite, tu as le Métal ou un enregistrement de salle d’embouteillage ou de la sirène du France, à fond !

    Bleck

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    • La sirène du France, à la rigueur 😉 Le problème c’est l’espace entre le filtre et la porte qui est d’à peine quelques centimètres, et je ne veux pas complètement bloquer le filtre. Je vais aller voir l’épaisseur des isolants.

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  3. Je suis curieux. Pourrais-tu installer sur ton iPhone une application de mesure du bruit ambiant en décibels et nous donner le résultat à différentes distances de la gaine d’aération ?
    Lorsque je me suis installé dans mon premier appartement, j’étais aussi gêné par le bruit de l’aération, notamment au niveau des prises d’air des fenêtres. Il n’y avait pas de solution, parce que l’aération mécanique était couplée à l’évacuation des gaz de combustion de la chaudière individuelle.

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  4. Quelques jours de retard de lecture encore rattrapés… j’ai été dégoûtée avec toi de la manière dont tes étudiants suivent, ou plutôt ne suivent pas, tes cours…..admirative de ce que tu as encore organisé comme événement….à peine surprise des complications pour changer de plaques mais contente pour toi que Vancouver t’ait permis de penser à autres choses quelques jours et surtout de te faire un stock de fromage !
    Et bravo pour le crochetage de porte suivi de son calfeutrage !

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  5. Jenny

    Je compatis : le bruit, et tout particulièrement celui auquel je ne peux pas échapper, chez moi, me rend dingue. Je n’arrive pas à en faire abstraction. C’est une vraie torture mentale. Je ne sais pas si j’arriverais à supporter 61 décibels en permanence. Le silence est sous-évalué…

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    • Je suis entièrement d’accord avec toi, et le bruit doit être bien plus néfaste qu’on ne le pense. En Alberta, j’avais le chauffage de la voisine qui m’énervait, mais quand il n’était pas en marche, j’avais un silence incroyable et dont je profitais grandement. Ici, c’est l’enfer, je n’ai pas d’endroit qui ne soit pas bruyant, même au boulot. Tout le monde me dit “tu vas t’habituer” mais je ne m’habitue pas! Et plein de gens ont la télé allumée tout le temps donc ils n’entendent pas ce genre de bruit de fond, mais je ne pourrais pas vivre comme ça (et en plus je n’ai pas de télé)!

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  6. Argh quelle torture ! Les décibels en soi ça ne veut pas dire grand chose car le bruit est quelque chose de très relatif pour nos sens. Je deviens déjà folle ici avec un simple goutte à goutte qui résonne dans toute la maison depuis la citerne d’eau qui est pourtant à l’extérieur… (à moins que j’aie une fuite dans le nouveau toit sans le savoir 🙂
    Si pas possible de résoudre le bruit à l’origine ni de mitiger avec des panneaux isolants, il reste le casque antibruit, les boules Quies ou le déménagement….. :-s

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Merci pour vos commentaires que j'adore :)