Cette semaine, j’ai fait un truc marrant: je me suis inscrite pour un cours intensif de creative non-fiction, trois heures tous les matins, juste pour voir. Ca s’appelait Women’s Words. On était dix dans la classe, c’était sympa. Dans ce cours il y avait des femmes vieilles, riches, pauvres, jeunes, d’un peu partout en Alberta, mariées, pas mariées, avec enfants, avec petits-enfants, sans enfants, hyper éduquées, chauffeuses de taxi, poètes, assistantes sociales, journalistes, etc. Il y avait même une femme […]

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