Aujourd’hui, je suis retournée au boulot! Et même si l’idée de devoir me doucher et m’habiller (ce qui ne m’était pas arrivé depuis 4 jours) ne m’enchantait guère, je dois avouer qu’une fois arrivée là-bas (à 10 heures, ce qui est presque raisonnable), je me suis plongée dans le boulot et en suis ressortie fort satisfaite à 17 heures! A part quand j’ai reçu un coup de FaceTime de la zia pour me donner des nouvelles (plutôt difficiles) de ma mère au milieu de l’après-midi, je n’ai pensé qu’à mon boulot pendant sept heures et ça m’a fait beaucoup de bien!
J’ai bossé sur:
- les heures de travail chacun de mes employés et leurs contrats
- l’emploi du temps et les business hours du centre de ce semestre d’hiver
- les quatre writing groups par semaine qui sont offerts tout le semestre (qui les enseigne, quand, où, page internet pour s’y inscrire, etc.)
- les deux workshops qu’on offre par semaine tout le semestre (qui les enseigne, quand, où, thèmes différent chaque semaine, etc.)
- les nouveaux services qu’on veut essayer d’organiser cet hiver (dans les bibliothèques et les dortoirs)
- l’organisation des sept staff meetings de ce semestre d’hiver (plus le grand souper de célébration de fin d’année scolaire en avril)
- toutes les réunions que Steve et moi on veut avoir pendant le semestre et les gens avec qui on aimerait bien discuter de certains problèmes ou questions
- les problèmes avec une cliente super casse-pieds
- les problèmes de clients qui prennent rendez-vous et ensuite ne viennent pas et comment on peut éviter ça
- et mon cours (qui commence le 9).
J’ai pas perdu mon temps! Si je continue à cette allure-là, dans deux mois j’ai publié cinq articles de recherche et une autobiographie de 800 pages, mortecouille!
Ce soir, je regardais les photos que j’ai prises pendant mes trois semaines en Suisse et je suis tombée sur cette photo rigolote qui vient de Lausanne (juste à côté de la gare). Pour toute personne ne comprenant pas pourquoi c’est rigolo, cherchez la signification de “gosses” au Québec 😉 Et maintenant que vous savez ce que ça veut dire, veuillez apprécier à sa juste mesure et dans toute sa splendeur le titre de ce post qui est le titre d’une chanson de Patrick Bruel.
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Cette fois-ci, le thème de la photo de truc, choisi par dieudeschats, est “photographiez-moi un truc qui vous interpelle.” (Pour les règles du jeu c’est par là, merci en particulier de m’envoyer la photo avec le lien de votre blog si vous en avez un.) Vous pouvez m’envoyer vos photos jusqu’au lundi 8 janvier (inclu), et je les posterai le 8 au soir (drcaso @ shaw . ca). La troisième personne à m’envoyer une photo pourra choisir le thème de la prochaine photo de truc. Merci de m’envoyer vos photos par email uniquement! Vous pouvez copier le petit badge rose qui se trouve au début de ce post et le mettre sur votre blog et inviter d’autres lecteurs à participer (et joindre le groupe Facebook du même nom).
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Mortes couilles ! Je ne les croyais pas rendues là !
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😆
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ah oui quand même! je ne sais si Patriiiick est au courant, mais c’est savoureux!
bonne seconde journée, on attend donc ton autobiographie pour la semaine prochaine, LOL!
bises du jour
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En fait je pensais plutôt écrire la biographie de Calinette, ça serait plus facile d’écrire 800 pages là-dessus que sur ma vie!
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Je ne connais pas de chanson de Bruel qui évoque « les gosses du Québec », mais si c’est le cas, ce brave couillon de Bruel doit bien prétendre aimer ses congénères du Québec, mais il y a tout de même beaucoup de condescendance à s’attarder à des particularités langagières pour s’en moquer, surtout lorsqu’il s’agit de populations que l’« on » considère inférieures (comme tous les francophones qui ne sont pas de l’Hexagone).
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Huhuh, non non, Bruel n’évoque pas les gosses du Québec dans ses chansons, pas de soucis 🙂 La photo n’a rien à voir avec Bruel, c’est juste une photo d’un endroit qui m’a fait sourire, à Lausanne. La chanson de Bruel n’a rien à voir avec ça, à part le clin d’oeil que je lui fais, mais pas méchamment j’espère.
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