c'est pas moi je l'jure!

in meinem kopf

Chères lectrices et chers lecteurs, comme mon dossier de promotion doit être rendu lundi dès l’aube, je suis un chouïa stressée. Alors je ne prendrai pas beaucoup de votre temps, à part pour vous poser cette question: est-ce mieux de faire 11 kilomètres en utilisant 11 litres/100km (quand je passe par la ville pour aller au boulot), ou 15 kilomètres en utilisant 6 litres/100km (en prenant l’autoroute)? Une simple calculation avec la règle de trois devrait vous donner la réponse rapidement mais mon cerveau est embué ce matin.

A part ça, j’adore mes 10 étudiants cette année, peut-être parce qu’il y a 6 femmes dans le lot. Ils sont tous sympas, marrants, intelligents, adorables, attentionnés, et surtout, ils se soutienent les uns les autres, c’est très chouette.

Je retourne à mon dossier (il y a une employée qui veut m’aider mais quime rend la vie 50 fois plus compliquée…. gros soupir…). Racontez-moi une blague, peut-être que ça m’aidera à moins paniquer!

Bon weekend à tutti et croisez les doigts pour moi 🙂

56 comments

  1. Anne

    Donc, par la ville 1,21 litre mais à modérer selon l’intensité de la circulation avec ralentissements et feux tricolores donc plus de pollution au redémarrage et 0,9 litre par l’autoroute mais vitesse plus importante en théorie donc plus de pollution
    Je sais c’est pas drôle comme blague 🙃
    Sinon courage, plus que deux jours avant lundi
    Ça c’est drôle : qui commence un WE en disant : courage, plus que deux jours avant lundi
    J’ai des circonstances atténuantes Votre Honneur : un syndrome grippal non Covid me cloue au lit 🤧😷
    Anne

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  2. la zia

    courage,j’ai aussi une crève qui ne veut pas me lâcher. J’en ai marre, j’ai décidé de contaminer tous le cinéma ce soir et tout le théâtre dimanche (je plaisante, je porterai un masque) mais zut !

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  3. Bleck

    En ce qui me concerne, je ne prends pas l’autoroute et uniquement pour des raisons de plaisir au volant, les autoroutes ont la particularité d’être tracées dans des lieux faciles, privilégiant la ligne droite et le moins de dénivelé possible… ville, pour toutes les choses qu’il y a à voir.
    Le prétexte “trajet pour le travail” ne rentre pas en ligne de compte, j’ai parcouru des centaines de milliers de kilomètres au cours des trente dernières années et j’ai limité au maximum les parcours autoroutiers beaucoup trop insipides à mon goût.

    Bleck

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  4. catherine

    How to survive a day at the office. 9 AM Switch on computer. 10AM Think about chocolate.
    11 AM Think about shopping. 12 AM Think about beaches. 1 PM Lunch 2 PM Think about coffee. 3 PM Think about resigning. 4 PM Think about plans for the evening. 5 PM Switch off computer.
    Ae you ready?
    Bon we Dr, et bon courage! bises

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  5. Caroline Jaccard Krejci

    Je pense toujours qu’il est mieux de prendre l’autoroute pour contourner une ville, afin de limiter le trafic en ville… pour les gens qui choisissent d’y vivre. En plus, là tu consommes moins. L’autoroute est aussi plus “stable” pour la voiture, car tu roules à vitesse plus constante.

    J’aime bien les contrepétries aussi…
    Ou certaines charades…
    Mon deuxième sert à gratter mon premier. Mon tout se mange.

    Bon appétit!

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  6. Je n’ai jamais su faire une règle de trois. Je n’ai jamais essayé non plus. Peut-être parce que mon père ne jurai que par la règle de trois!
    Une blague?
    Comment fait-on pour mettre un éléphant dans un frigo ?
    – On ouvre la porte du frigo, on met l’éléphant, on referme la porte du frigo.
    Comment fait-on pour mettre une girafe dans un frigo ?
    – On ouvre la porte du frigo, on enlève l’éléphant, on met la girafe, on referme la porte du frigo.
    Bisous

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  7. La blague qui a failli me coûter la vie mardi dernier (je me suis étouffée avec mon café) :
    Journées du Patrimoine, une chercheuse en art du spectacle présente la collection de costumes, 75% des visiteurs l’interrogent uniquement sur son accent. Arrive un vieux monsieur :
    “Vous êtes de quel origine ?”
    “Je suis de République Tchèque”
    “Ah, je connais deux polonaises !”

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      • C’était le décalage entre la situation (une post-doctorante qui présente son sujet de recherche) et le visiteur, qui tient absolument à trouver un point commun entre lui et elle (la République Tchèque et la Pologne, ce n’est quand même pas la même chose !)… plus peut-être la réplique des Tontons Flingueurs qui nous est, à tous, passée par la tête au même moment : “J’ai connu une polonaise qui en buvait au petit-déjeuner”

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  8. Pas envie de réfléchir à tes calculs. En même temps on est dimanche, jour de repos. Quant aux blagues, mon cerveau est pris par une crève carabinée, je suis incapable de réfléchir.
    J’espère que tu t’en sors et que tu arrives au bout.

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  9. Para los hispanohablantes :
    Entra un señor en un bar. El camarero educadamente le pregunta:
    – “¿Qué desea?”
    A lo que el señor le contesta:
    – “Quiero… tres cafés.”
    – “¿Tres cafés?”
    Le pregunta el camarero, sorprendido.
    – “Si, uno para mí, otro para tí, y otro para tu puta madre.”
    Le contesta el señor.
    El camarero, jodido y mosqueado, se aguanta las ganas de darle un puñetazo con temor a que le despidan y total, piensa:
    – “Quizás sea la última vez que venga por aquí, y no merece la pena”.
    Al día siguiente el camarero acaba de abrir el bar, cuando de nuevo, atónito, ve como el mismo señor del día anterior entra en el bar. El señor se acerca hasta él y le dice:
    – “Quiero que me ponga 3 cafés.”
    El camarero, ya mosqueado por el día anterior, le vuelve a preguntar:
    – “¿Tres cafés?… A ver, ¿Para quién?
    El señor le contesta:
    – “Uno para mí, otro para ti, y otro para tu puta madre.”
    El camarero ya no se aguanta las ganas, sale de la barra y le da una paliza enorme. Al final el señor se va casi sin poder caminar, y el dueño del bar no le despide puesto que ve que el comportamiento del camarero ha sido justificable.
    Al día siguiente el camero colocaba las tazas de café cuando, todo incrédulo, ve aparecer al señor por la puerta con un ojo morado, la pierna vendada, el brazo en cabestrillo. El señor se acerca a él y le dice:
    – Quiero dos cafés.
    El camarero, mosqueado, le pregunta:
    – “¿Dos cafés?…, ¿Para quién?
    – Uno para mí y otro para tu puta madre. Para ti no, que te pones muy nervioso…

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