Vue du Colorado. J'aime ces formes étranges des champs américains (cliquez sur les photos pour les voir en plus grand)
Descente sur New Orleans, le Golf du Mexique et le Mississippi.
Premier choc à la sortie de l'aéroport: mon Dieu, on peut respirer sans se brûler les poumons! Deuxième choc: mon Dieu, mais c'est tout vert!
Entre 200 000 et 400 000 habitants de NOLA ont déménagé à Bâton Rouge après Katrina.
Ce "drapeau" se retrouve un peu partout, souvenir des racines Acadiennes.
Une des nombreuses stations de pompage qui entourent la ville.
Arrivée au centre ville.
Vue depuis ma chambre d'hôtel.
Je trouve incroyable ces minuscules bâteaux qui poussent ces immenses containers!
Toujours fidèle aux chambres d'hôtels américaines.
On arrive dans les "French Quarters." Mon chauffeur de taxi Uzbèque me fait faire un petit tour de la ville (je le lui ai demandé, hein, c'est pas une arnaque).
Il y a beaucoup de touristes dans les French Quarters.
On peut faire des tours en calèche, c'est sympa.
Petite cathédrale.
The French Market.
Jeanne d'Arc, The Maid of New Orleans, statue offerte par la France.
Balcons et terrasses des French Quarters.
Parade nocturne sur Canal Street pour la St. Patrick.
"Floats" (c'est quoi en français?) tirées par des ânes et des tracteurs (bien bruyants!).
Brumes matinales sur le Mississippi.
Ze Police (avec la fleur de lys).
Entrés d'un parc?
Il y a ces chevaux sur tous les trottoires. Pas sûre à quoi ils servent.
Un peu d'histoire.
Hahaha, quand on fait un peu trop la fête, les bouteilles de verre deviennent dangereuses! (NOLA est une des rares villes américaine où l'alcool "visible" est permi à l'extérieur.)
Décorations de carnaval dans un resto.
Concert dans la rue.
Demain: le plus beau et le plus triste de la Nouvelle Orléans.
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On commence à vraiment sentir la ville.
L’équivalent français de float est «char allégorique».
Quant aux bornes à têtes de chevaux, il s’agit probablement de poteaux destinés à recevoir la bride d’un cheval pour l’y attacher. Il y en avait partout dans les villes du temps où les véhicules hippomobiles étaient plus communs; seulement, les poteaux n’étaient pas toujours aussi bien décorés.
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j’adore cette architecture… Dans un pays bien chaud c’est la plus agréable. presque autant de balcon que d’appart, et des plantes, et de l’ombre…
la vue de ta chambre d’hotel était très bien, vraiment, à défaut que la nourriture soit potable ! :D.
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Que de beaux souvenirs! Est-ce qu’il reste toujours les maisons abandonnées et les campements sous les ponts ?
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Les Espagnols ont conquis la Louisiane ? Je pensais que Napoléon l’avait vendue aux Américains…
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Olivier voivi ce que j’ai trouvé sur le sujet:
“Explorée sous le règne du Roi-Soleil, la Louisiane française fut relativement peu mise en valeur par manque de moyens humains et financiers. La monarchie ne la conserva que pour faire pièce à l’impérialisme anglais en Amérique et joua des alliances avec les divers peuples amérindiens pour se maintenir. Les défaites de la guerre de Sept Ans finirent par avoir raison de la Louisiane française qui dut être cédée aux Britanniques et aux Espagnols. La France récupéra un temps sa souveraineté sur la portion espagnole de la Louisiane, mais Napoléon Bonaparte s’en sépara définitivement en 1803 au profit des États-Unis”
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J’allais écrire exactement ce que Doréus à écrit 😉
Je crois aussi que les floats concernent ce qui est tracté par les grands camions.
Je me plairais bien avec un de ces balcons où les plantes grimpantes pourraient s’accrocher à la dentelle de fer forgé 😉
Tes photos sont très belles.
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Tes photos donnent vraiment envie de visiter NOLA. Il faut juste que je trouve une période de l’année où il n’y fait pas trop chaud et humide.
Comme Doréus je crois que les tête de chevaux servent à attacher la bride d’un cheval.
Ta photo 28, c’est bien l’entrée du parc Louis Armstrong Park qui s’appelait à l’origine Congo Square (ou Square Beauregard). Les esclaves avaient la permission de s’y rassembler le dimanche.
L’architecture de certaines maisons (photos 4, 15, 19 et 23) me fait beaucoup penser à Charleston, SC. Mais c’est normal, c’est quand même pas si loin.
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On sent vraiment que tu as aimé cet endroit. N’aurais-tu pas envie ou la possibilité de t’y installer ?
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Merci pour la balade!
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Doréus, merci pour la traduction 🙂 Je pense qu’en français de Suisse on doit juste dire “char”…
Krysalia, oui, j’aurais pu rester devant ma fenêtre à regarder les bateaux passer toute la journée 🙂
Cynthia, je n’ai pas vu de campements sous les ponts mais tu vas voir ce soir, le coup des maisons abandonnées c’est très impressionant!
Olivier, ouf, heureusement que Fabulous Fabs était là 🙂
Fabulous Fabs, merci pour les détails 🙂 Je te conseil de visiter NOLA début mars (juste après le carnaval), c’est le printemps, il ne fait pas encore trop chaud ni humide, et il n’y a plus autant de monde que pour le carnaval et pas encore tous les touristes du printemps. Quant à l’architecture, elle me rappelait aussi parfois celle de Georgie, surtout sur les photos que je vais poster ce soir, tu verras 🙂
!Béo! si les floats sont tirés par des grands camions, comment appelles-tu les bidules tirés par des tracteurs ou des ânes? 😉
delimoon, c’est une ville superbe mais beaucoup trop touristique et humide et chaude et embouteillée à mon goût. En mars, ça va, mais l’été est insupportable là-bas, et je préfère avoir trop froid que trop chaud. Et puis il y a des parades et des fêtes pratiquement chaque semaine, et ça encombre et ferme la circulation, c’est l’enfer. Rien que pendant les 5 jours où j’étais là-bas il y a eu deux “fêtes,” une pour la St. Patrick et une pour les Italiens (je ne sais pas pourquoi). C’est une ville très chaotique et un peu trop pleine de vie pour moi 😉
Babeth59, merci de te balader avec moi 🙂
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Je viens de remarquer… Ça ne prenait que toi pour trouver une plaque d’immatriculation disant «FTW»!
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For The Win? From The Wilderness? F’ The World? Free The Whales? Fort Worth Meacham International Airport? Ou j’en oublie? 😉
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F*CK THE WEATHER
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Je pensais au sens généralement entendu de cette expression: «Fuck The World», mais je préfère, étant donné les circonstances, l’expression de Fabulous Fabs.
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😆 en effet, c’est de circomstance!! 😆
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C’est magnifique… Et quel beau soleil.
Je me retiens l’idée pour un petit voyage en mars dans quelques années, je suis très curieuse…
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En français de France, on dit aussi juste “char”. Comme un char de carnaval, tout ça. Si c’est tiré par des chevaux et que ça tourne en rond dans une arène, c’est toujours un char (cf. “Arrête ton char, Ben Hur, César fait du stop”). Si c’est tiré par un bourricot, un cheval de trait, un bœuf, ça devient une charrette, et on y met de la paille plutôt que la déco. Si c’est tiré par une meute de chiens, c’est un traîneau. Si c’est tiré par des ch’tits vietnamiens, c’est un pousse-pousse (étrangement, ça devrait plutôt s’appeller tire-tire, selon le modèle).
Et si c’est tiré par les cheveux… c’t’une queue de cheval?
Et moi, j’aime beaucoup les balcons en fer forgé, dans tes photos 🙂
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Un char allégorique?
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Pour la float: ça tient du langage des camionneurs de “van” 🙂
Sur Neuchâtel à la fête des vendanges: ils appellent ça des corseaux-sos? J’ai toujours trouvé ça joli comme nom!
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My daughter, Lauren, volunteered and took a group from her faculty with her, during the Katrina clean up immediately after the disaster… the following year. She was at Tufts University in Boston taking her Masters in OT and during that week, the living conditions for the helpers were deplorable (understandably) but the uniforms that they wore made them all sick. There was lice everywhere in the house they were placed, and rats – no running water, no electricity. They were given uniforms to wear that were not cleaned between workers that included head and face masks. Bacteria was rampant. She came home so sick, every one of them was ill, but she took a very long time to recover. Most of her team was able to do some work, but after the first two days, almost all of them were too ill to work at all. Sad. Sad. Sad.
Valerie
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